Les huit leaders du Comité Laïc de Coordination ( CLC) ont finalement décidé de sortir de la clandestinité. Un mandat d’arrêt a été lancé en janvier 2018 contre les huit responsables.
En février 2018, le ministre de la Justice Alexis Thambwe a confirmé les poursuites à leur endroit. Du coup, Isidore Ndaywel, un des huit cadres estime qu’ils devaient se mettre à l’abri. Le CLC est réputé pour l’appel à plusieurs manifestations pour réclamer l’application intégrale de l’accord de la Saint Sylvestre. On a dénombré plusieurs morts à savoir Rossy Mukendi, l’aspirante sœur Thérèse Kapangala, … À présent, le CLC aspire devenir une structure permanente afin de jouer le rôle de sentinelle.
JM Mawete
