Une étude menée en RDC auprès de 10 000 personnes testées positives aux anticorps du VIH et sans traitement antirétroviral pourra déboucher sur d’autres recherches permettant de découvrir des liens entre la suppression naturelle du virus et une future thérapeutique.
La société pharmaceutique Abbott qui a annoncé mardi 2 mars avoir fait la découverte de ce cas inhabituel a affirmé qu’elle était révolutionnaire et pourrait aider les chercheurs à améliorer encore plus les traitements contre le VIH et peut-être même produire des vaccins. Les chercheurs croient dur comme fer que cette découverte plutôt exceptionnelle puisse être à la base de ‘‘la clé pour guérir la maladie’’ à VIH. Ce sera le début d’un espoir pour 38 millions de personnes vivent avec le VIH (PVV). Depuis le début de la pandémie mondiale du Sida, pas moins de 76 millions de personnes ont été infectées par le virus.
E.Mus
