Didier Mumengi propose l’économie de la rumba congolaise

Dans son nouvel ouvrage de plus de 90 ouvrages, le sénateur Didier Mumengi s’évertue à expliquer en long et en large la manière de rentabiliser la rumba congolaise pour en faire une véritable économie créative.

L’écrivain part de l’idée selon laquelle la musique et plus spécialement la rumba rythme notre vie quotidienne. De millions de jeunes rêvent de faire carrière dans ce domaine. Pour l’ancien ministre de l’Information, cette économie créative tant prônée doit être à même de créer des emplois notamment des producteurs, des ingénieurs,… et des industries spécialisées dans la fabrication des instruments. A titre d’illustration, l’auteur cite l’exemple de la Chine dont la vente d’instruments de musique génère environ 15 millions de dollars américains annuellement. Le tango (style de musique) rapporte environ 400 millions de dollars américains à l’Argentine. Toujours dans cet ouvrage, l’auteur propose d’écrire la chorégraphie de la rumba, son solfège. L’objectif, c’est de créer des écoles de la rumba.

Fasciné par les ingénieuses idées de Didier Mumengi, Eric Mandala par le biais de son label Univers Groupe TV a acheté les droits d’auteur de ce livre dans le but de transformer ces idées novatrices en industrie.

La rumba congolaise patrimoine universel à l’horizon 2020

Didier Mumengi et l’ensemble des opérateurs culturels se battent pour la reconnaissance de la rumba congolaise au patrimoine universel à l’horizon 2020. Pour rappel, c’est à l’initiative du regretté ministre de la Culture et des Arts Baudouin Banza Mukalay avec l’appui du Professeur Yoka que cette bataille de reconnaissance a été lancée. 

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